De nouveau j'ai passé un agréable moment de lecture : les aventures loufoques du fakir font sourire sans aucun doute, mais elles jettent aussi un regard acerbe sur certains aspects de la société et du consumérisme.

Le récit se déroule avec les aventures actuelles d'Aja et en flash back avec sa vie d'enfant (pas vraiment enchanteresse), lors de sa formation à l'école des fakirs.

Les dernières pages du livre font un peu froid dans le dos, même si le thème des réfugiés et de leur (non) accueil est abordé dans ce tome également.

Mais Romain Puértolas continue à jouer avec les mots, à rendre les situations assez loufoques, à semer de la fantaisie parmi les sujets plus graves. Le lecteur s'amuse du rocambolesque des situations et même si l'auteur utilise les mêmes ficelles que pour les premières aventures d'Aja, on ne s'ennuie pas.

Si vous êtes adepte de son style, invitez Puértolas dans votre bibliothèque!